jeudi 10 février 2011

Et un, et deux, et trois zéros

Tout le monde se souvient du 12 juillet 1998 où la France a enfin décroché son premier titre de champion du monde de football, tout le monde se souvient de la classe de nos joueurs et de la liesse populaire que ça a provoqué chez les fondus de foot comme chez les personnes qui entendaient parler de foot pour la première fois (il faut bien reconnaitre qu’elles étaient peu nombreuses à l’époque), alors quand j’ai entendu qu’il y avait hier un remake, je me suis dit : chic, on va passer un super soirée !

N’étant pas particulièrement versé dans l’addiction footballistique, je n’avais pas suivi de près les évolutions des deux équipes, alors que dire du spectacle d’hier : deux équipes en reconstruction (les brésiliens ne valaient pas mieux que les français), des joueurs sans grande créativité, un collectif balbutiant, des « stars » qui à chaque fois que j’entends parler d’elle sont dans une mauvaise période (si j’étais dans une « mauvaise période » aussi longue dans mon travail, j’aurais du souci à me faire). Je veux bien que notre équipe soit en convalescence, mais je ne vois pas comment elle va faire des étincelles lors des prochaines échéances.

Hier, j’ai vu, et un, et deux, et trois zéros…

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